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vivre aux Etats Unis

10 avril 2007 2 10 /04 /avril /2007 22:22









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1 avril 2007 7 01 /04 /avril /2007 21:57
Dimanche 1er avril, "rassemblement pour la planète" d'environ 7 000 à 15 000 personnes au Trocadéro à Paris après l'appel de Nicolas Hulot et de sa Fondation.

Par cette manifestation et l'ensemble de ses actions, la Fondation essaye de sensibiliser la population aux questions environnementales et d'adresser un message fort aux candidats à la présidentielle, qui pour certains ont signé le
Pacte écologique, mais pas tous.



Votons pour la planète.

Nicolas Hulot, Zazie, Luc Besson, Hugues Auffray, Pascal Obispo et les autres...



Vue d'ensemble depuis le haut du Trocadero.


Rassemblement au Trocadero.


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25 mars 2007 7 25 /03 /mars /2007 14:09

Le 25 mars 1957 était signé le Traité de Rome ou plutôt les traités de Rome instituant :

- la Communauté européenne (le « traité CEE », aujourd'hui le « traité CE »)

et 

- la Communauté européenne de l'énergie atomique ou traité Euratom.

 


Alors joyeux anniversaire à l'Europe, qui fête aujourd'hui ses 50 ans!

 

Pour plus d'informations sur les commémorations et l'Europe en général, n'oubliez pas de regarder le site de diplomatie.fr, celui de Café Babel et enfin celui du Traité de Rome.

 

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25 mars 2007 7 25 /03 /mars /2007 10:49

Et oui, aujourd'hui nous avons une journée de 23 heures au lieu de 24. Une heure à rajouter à nos horloges, comme pour les Etats-Unis quelques semaines plus tôt, il fallait bien y passer aussi! Sauf que là, cette fois-ci, j'ai oublié qu'il fallait changer d'heure!

 

Hier, j'ai fait grève des infos, et du coup, coupée du monde, notamment en raison de mon mal de dos -qui s'améliore je vous rassure- je n'étais pas au courant de ce changement d'heure. Je comprends maintenant pourquoi il faut changer d'heure de la nuit du samedi au dimanche! Si on le faisait dans la nuit du lundi tout le monde arriverait en retard au travail/école. Enfin tout le monde, non, juste ceux comme moi qui n'étaient pas informés pour une fois.

 

Bref, sur cette pensée du jour, je vous souhaite à tous un très bon dimanche, et si ce n'est pas déjà fait, n'oubliez pas de changer d'heure!

 

A bientôt, Magali :-)

 

PS Marion O. : DESOLEE encore pour le cinéma de ce matin!!  

 

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22 mars 2007 4 22 /03 /mars /2007 14:18
"La Vie des Autres": au temps de la RDA et du soupçon
Par Jean-Luc Douin, Le Monde.


Thriller ou film d'espionnage ? La Vie des autres peut être goûté en fonction de critères esthétiques. On s'y divertira d'un suspense, d'une atmosphère, entretenus l'un et l'autre par une mise en scène solide et un travail de documentation manifeste. L'auteur, nous dit-on, a passé quatre années à consulter archives et experts. Mais il s'agit aussi d'un film politique, de ceux qui revisitent l'histoire de leur pays sans tabous et témoignent de l'état adulte d'une société.

Inquiétante fiction, la Vie des autres est en effet, en même temps, un documentaire sur la Stasi, ses buts, ses méthodes. C'est en 1950 que, à la manière du KGB, est mis en place en République démocratique allemande (RDA, l'ex-Allemagne de l'Est) ce ministère pour la sécurité d'Etat, afin de traquer les opposants au régime. Le film commence à l'université où sont formés les futurs membres de cette police secrète. Impassible officier instructeur, Gerd Wiesler enseigne l'art de torturer les "arrogants" traîtres présumés, ennemis du socialisme.

Chacun ses méthodes : celle de Wiesler est d'empêcher ses proies de dormir. En manque de sommeil, professe-t-il, les innocents deviennent enragés, hurlent contre l'injustice dont ils sont victimes. Les coupables, eux, restent calmes et se taisent, car ils savent pourquoi ils sont là. Le film démontre que cette théorie est un leurre. De 1950 jusqu'en 1989 (date de la chute du mur de Berlin), le machiavélisme du pouvoir, la suspicion généralisée donnèrent aux citoyens de RDA bien des raisons d'avoir des insomnies, tant les enquêtes, les purges et les emprisonnements furent arbitraires.

AUSSI DIABOLIQUE QUE LE MINISTRE

En 1984, Georg Dreymann est mis sous surveillance. C'est un dramaturge considéré comme loyal au régime, non subversif. Raison de plus. "Trop poli pour être honnête, argumente le ministre de la culture. Il cache quelque chose ! Mes tripes me le disent !" Les arguments pour faire mettre Dreymann à la trappe sont douteux.

Officiellement, l'homme de théâtre est un individu dont il faut se méfier parce qu'il est ami avec un metteur en scène récemment interdit de travail pour avoir signé une pétition. Officieusement, il est l'amant d'une actrice dont le ministre a fait sa maîtresse, usant du chantage. Il n'est pas sorcier de convaincre un cadre de la Stasi, préoccupé par sa carrière, de truffer l'appartement de Dreymann de micros. C'est l'impitoyable Wiesler qui est désigné pour superviser les écoutes.

Aussi diabolique que le ministre, le scénario met en place une série d'événements soulignant la collusion entre affaires intimes et salut public, et démontrant que personne, dans ce contexte infernal, n'est au-dessus de tout soupçon. La Vie des autres se joue du caractère fluctuant des lumières et des ombres, comme dans Le Corbeau, de Georges Clouzot. Chacun peut y être perçu comme agent double, selon un intérêt caché, une caméra, une fausse preuve, un piège. La question de l'honnêteté du regard des espions est nouée à celle de l'ambiguïté légitime du comportement de toute personne humaine.

C'est peut-être là-dessus que le film emporte le morceau. Le ministre est un diable ensorcelé par sa libido, mais les autres bien autre chose que des silhouettes aux rôles tranchés. Homme de conscience, l'irréprochable Dreymann s'émeut du taux de suicides d'intellectuels en RDA, écrit à ce propos un article sous pseudonyme pour un journal de l'Ouest, cache sa machine à écrire, néglige le danger en ignorant ce qu'il doit au hasard et ce que subit son entourage. Christa, sa compagne, donne des gages d'amour, mais la menace de ne plus pouvoir exercer un métier qui lui est tout et d'être privée des médicaments qu'elle se procure clandestinement la rend fragile, susceptible de trahir.

CHUTE PRÉCIPITÉE

Le personnage de Wiesler, l'austère espion planqué dans les caves, n'est pas le moins équivoque. Vaillant petit soldat du pouvoir, ce solitaire otage de ses frustrations devient lui-même un homme obscur, culpabilisé d'être un voyeur, troublé par ce qu'il découvre : l'émotion procurée par l'art, la beauté de l'amour, la duplicité et le mensonge qui rongent son propre camp.

Homme d'idéal, cet "HGW XX 177" agit de bonne foi, même lorsqu'il tronque ses rapports. La façon dont le cinéaste lui rend hommage au final est-elle une manière d'absoudre d'anciens bourreaux, ou de suggérer que certains employés de la Stasi agirent en résistants ? Ce jeune cinéaste allemand n'entend-il pas plutôt souligner que, dans sa chute précipitée, la Stasi n'a pas pu détruire toutes ses archives et que 180 kilomètres de dossiers sont demeurés intacts, accessibles aux citoyens concernés et aux chercheurs ? Il a le cran de sortir de la caricature (la peinture clinique d'une entreprise totalitaire) pour traiter de manière humaniste une page noire de l'histoire allemande.

 
Film allemand de Florian Henckel von Donnersmarck avec Ulrich Mühe, Sebastien Koch, Martina Gedeck, Ulrich Tukur.

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1 mars 2007 4 01 /03 /mars /2007 08:23
Depuis plusieurs mois, j’entends parler de ce film, « la Môme » sur la vie d’Edith Piaf. Parfois, lorsque l’on entend trop parler d’un film, soit disant brillant, il arrive que l’on soit déçu une fois le dit film vu. Dans le cas de « la Môme », ça n’a pas été mon cas.


D’abord, la performance de Marion Cotillard en Edith Piaf. L’actrice est totalement transformée, méconnaissable même ! La ressemblance avec Edith Piaf à tous les stades de sa vie est impressionnante, y compris et surtout lors des gros plans du film. La môme Cotillard en fait des tonnes : à la fois vulgaire, canaille, capricieuse, ingrate, indomptable, marchant comme une bossue… C’est un vrai rôle de composition, déchirant par moment, notamment lors de la mort de Cerdan, et qui donne des frissons à observer ce corps déglingué et agonisant.


Je savais vaguement avant de voir le film que la vie de l’interprète Piaf – dans la vraie vie, Edith Gassion – avait été mouvementée. Ce film nous retrace ce parcours chaotique en plus de 2h en commençant par l’enfance puis l’âge adulte avec des retours en arrière finement positionner dans le film.


Et finalement à la fin du film, on comprend mieux la signification réelle des mots contenus dans les chansons de Piaf  comme « l’hymne à l’amour », ou encore et surtout « Non, je ne regrette rien ».


Certes, pour ceux qui sont allergiques aux chansons d’Edith Piaf, ou qui ne supportent pas les films biographiques/dramatiques, ce film n’est peut-être pas pour vous… Toutefois, moi, je vous le conseille à tous vivement, car on ne voit pas passer le temps et je le répète, la performance de Marion Cotillard est remarquable !




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25 février 2007 7 25 /02 /février /2007 22:36

Suite à un article dans « A Nous Paris », j’ai appris qu’une entrée Guimard, emblème majeur de la capitale et du métro parisien avait été inaugurée en janvier à Moscou par le PDG de la RATP. Cette inauguration n’est pas la première. Depuis plusieurs années, différentes villes comme Mexico, Chicago ou Lisbonne avaient demandé dans le cadre d’un échange culturel, qu’un entourage Guimard, copie exacte du modèle parisien, soit installé sur leur réseau. La RATP a répondu favorablement à cette demande.

 

Ne connaissant pas l’architecte Hector Guimard, j’ai décidé d’en apprendre un peu plus sur lui et de vous le faire partager. Tant qu’à faire, autant que mes recherches culturelles sur Paris servent à tout le monde –enfin du moins à tous ceux et à toutes celles qui auront le courage de lire ces quelques lignes !

 

Hector Guimard (1867-1942) fait partie des architectes de l’Art nouveau français. Il a rejeté le modèle antique enseigné dans les écoles des Beaux-Arts jusque là pour préférer l’imitation de la nature à la façon des artistes gothiques ou japonais.

 

Après avoir participé à l’Exposition universelle de 1889, il part à la conquête de Paris en construisant des maisons dans le XVIème arrondissement, puis surtout l’école du Sacré Cœur au 9 avenue de la Frillière. En 1894, grâce à l'appui d'Anatole de Baudot, le futur constructeur de Saint-Jean de Montmartre, la première église de Paris en béton armé, il obtient une bourse de voyage au Salon du Champs-de-Mars. Guimard l'utilisera pour un voyage en Grande-Bretagne et en Belgique où il fait une rencontre décisive, celle de l’architecte Horta.

 

Chargé à ce moment d'édifier le Castel Béranger, 14, rue La Fontaine, un immeuble de trente-six appartements, il change son premier projet, romano-gothique, pour le transformer en manifeste de l'Art nouveau que le public et les critiques seront appelés à visiter librement. Le jeune maître se place alors sous le patronage de Viollet-le-Duc, la figure emblématique de tous les architectes de l'Art nouveau européen. Puis, il rend hommage à Horta dont il a recueilli une précieuse confidence sur son art : dans l'imitation de la nature, il faut bannir la feuille et la fleur, ne garder que la tige. Comme le maître belge, Guimard a appliqué dans son Castel un autre principe fondamental de l'Art nouveau, celui de l'unité complète de l'œuvre : il est l'auteur de toute la décoration intérieure, y compris les tapis et certains meubles.

 

Le grand œuvre de Guimard reste encore aujourd’hui les édicules du Métropolitain construit entre 1899 et 1913. La jeune Compagnie du métro parisien a lancé un concours portant sur les édicules destinés à couvrir les entrées des stations souterraines. Sur la vingtaine de concurrents, aucun ne se rattachait à l'Art nouveau. Ce fut dommage pour eux car le banquier Adrien Bénard, président du conseil d'administration de la Compagnie, en raffolait : il avait d’ailleurs fait décorer la salle à manger de sa villa par le sculpteur Alexandre Charpentier. Guimard fréquentait le salon des Charpentier où il rencontrait ses amis, et c'est sans doute par l'intermédiaire du vieux maître qu'il fit la connaissance de Bénard. Sans hésiter, celui-ci lui confia la commande complète des édicules.

 

Guimard décida d'utiliser un matériau à la fois économique et plastique, la fonte de fer. Son caractère pâteux, impropre à tout moulage, fut employé par l'architecte pour souligner l'ossature de ses abris. La couverture relevée des édicules les fit comparer à des libellules déployant leurs ailes. Mais tout le monde n’appréciait pas son œuvre. Les balustrades et les lampadaires en forme de tiges qui entouraient la plupart des escaliers de descente aux stations ont été qualifiés par certains de « fragments de squelette d'ichtyosaure ». L'inscription « Métropolitain », dessinée par Guimard, était considérée comme illisible par les enfants et les touristes. En 1902, l'Art nouveau n'est plus dans le vent, mais Guimard réussi à installer de nouveaux entourages jusqu’en 1913.

 

A la suite d’une convention, l’architecte a cédé à la compagnie la propriété complète de ses modèles et tous les droits de reproduction. Les atteintes du temps, l’évolution de l’environnement urbain, les nouvelles exigences en matière d’information et de repérage des accès du métro ont nécessité une véritable restauration patrimoniale. Pour ce faire, les équipes de la RATP ont défini et formalisé les modes opératoires avec les architectes des Monuments historiques de France.  Les méthodes de la RATP sont aujourd’hui la référence mondiale en matière de restauration et d’entretien des entourages Guimard.

 

Avec cette nouvelle inauguration de l’entourage de la station Kievskaïa à Moscou, Guimard retrouve une reconnaissance en France comme à l’étranger.

 

 

 

Exemple d'une station Guimard.

 

 

Source : Encyclopédie Universalis et A Nous Paris.

 

 

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21 février 2007 3 21 /02 /février /2007 09:15
Suite à un RDV avec deux copines devant le Panthéon samedi après-midi, j’ai atterri dans un « bar à chocolat » situé rue Monsieur le Prince. La vitrine nous laisse entre-apercevoir une fontaine de chocolat à l’entrée et des milliers de petits chocolats au lait, noir et blanc prêts à être dégustés. 

Une fois la porte franchie, j’ai eu l’impression de rentrer dans une des scènes du livre « Charlie et la Chocolaterie » de l’auteur anglais Roald Dahl. Peter Beier, chocolatier danois serait-il une réincarnation de Willy Wonka ?

Toujours est-il qu’après avoir regardé les chocolats et senti l’odeur du cacao, nous sommes montées à l’étage afin de nous installer confortablement pour feuilleter la carte des boissons chocolatées bien sur ! 

Après quelques minutes de réflexion dans cette ambiance chaleureuse, j’ai opté pour le chocolat chaud au lait, le « favori des enfants ». Verdict : un grand mug rempli d’un délicieux chocolat, avec un peu de crème pour couronner le tout. Et le prix dans tout ça, seulement 5€… Alors si vous êtes dans le coin, allez-y, non que dis-je, courrez-y !



Carine et Sandrine, au bar à chocolat.


 

Bar à Chocolat
62, Rue Monsieur le Prince
75006 Paris


 

 

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18 février 2007 7 18 /02 /février /2007 16:58
Yass, vous connaissez ? Moi jusqu’à jeudi soir, je ne connaissais pas, mais alors, pas du tout… Et pourtant, toujours ouverte à de nouvelles aventures, je suis allée voir son One Man Show avec des amis.


Installée "presque" confortablement sur mon cousin rouge du Petit Palais des Glaces, j’ai observé le spectacle et les débuts un peu "difficiles" de Yass sur scène. Après les deux premiers intermèdes, un silence pesant régnait dans la salle : personne n’avait vraiment ri, ni applaudi… Intérieurement, j’espérais que le spectacle allait s’améliorer ! Et heureusement, ce fut le cas !


A partir de la troisième partie, Yass a véritablement investi la scène du Petit Palais des Glaces et repris le pouvoir : les gens riaient, y compris moi. Cette découverte valait finalement le coup. Alors allez-y, vous passerez un bon moment…






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17 février 2007 6 17 /02 /février /2007 09:00
La dernière comédie musicale à la mode à Paris, c’est très certainement Cabaret, aux Folies Bergère. Cette comédie musicale de Joe Masteroff, avec une musique de John Kander, et des paroles de Fred Ebb, est jouée en France depuis octobre 2006, et connaît assez de succès pour être prolongée.


Cabaret-2.jpg
Les Folies Bergère.


Cabaret est monté pour la première fois en 1966 à Broadway dans une mise en scène d'Harold Prince, et obtient huit Tony Awards. L'histoire est basée sur la pièce de théâtre I Am A Camera de John Van Druten, elle-même inspirée de Berlin Stories de l'écrivain anglo-américain Christopher Isherwood. En 1972, la comédie musicale est adaptée au cinéma. Cabaret est réalisé par Bob Fosse et remporte huit Oscars. Le rôle de Sally Bowles est alors tenu par Liza Minnelli.


La version actuelle aux Folies Bergère, est celle du metteur en scène Sam Mendes et du chorégraphe Rob Marshall. En 1998, ils ont tous les deux l’idée de revisiter la comédie musicale pour en faire une version épurée et plus libertaire, dont les représentations auraient toujours lieu dans un véritable décor de boîte de nuit représentant le Kit Kat Klub. Cette reprise a remporté 4 Tony Awards. Aujourd’hui à Paris, Cabaret a été adapté en français et le rôle principal de Sally Bowles est tenu par Claire Pérot, remarquable.


L’action de Cabaret se déroule en Allemagne pendant les années trente, au temps où les nazis s’activent à mettre sur pied le Troisième Reich. Dans la boîte de nuit berlinoise le Kit Kat Klub, la chanteuse américaine Sally Bowles et le Maître de cérémonie du club essayent grâce à leur divertissement extravagant de faire oublier aux visiteurs les difficultés de la vie et les menaces grandissantes du monde extérieur.



Le Kit Kat Klub.



Sally Bowles rencontre Cliff Bradshaw, un Anglais réservé, universitaire et écrivain fraîchement débarqué à Berlin pour finir son roman et poursuivre ses études d'allemand. Après une phase chaotique, Cliff et Sally deviennent amants, mais celle-ci ne s’imagine pas mener une vie tranquille. Elle le quitte après avoir avorté.


Cabaret-1.jpg

Le salue final.


Cette intrigue qui occupe presque la totalité de la comédie musicale, n’empêche pas certaines scènes de nous rappeler la montée en puissance de la violence nazie, et ces conséquences tragiques.


Source : Wikipedia et le site officiel de Cabaret.

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