Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Rechercher

Les photos présentées sur ce blog ne sont pas libres de droits de reproduction. Merci à vous de me demander l'autorisation pour toute utilisation. 


The pictures on this blog are copyright, please ask before using them.

 

Copyright M.G. 2013. Tous droits réservés. 

 

vivre aux Etats Unis

18 novembre 2007 7 18 /11 /novembre /2007 23:50
C’est déjà la deuxième fois que je vais voir Rent à New York (une fois en 2003 et une en 2007) alors il était temps de faire un article sur mon blog. J’aime beaucoup la mise en scène, l’histoire et surtout les chansons ! Cette comédie musicale a été créée par Jonathan Larson en 1995.


L’histoire est la suivante. Dans les années 80, à New York City, Mark un réalisateur de film passe Noël dans un loft du Lower East Side avec son colocataire Roger, un musicien. Au fur et à mesure des scènes, nous découvrons l’ensemble des personnages : Collins, Angel, Maureen, Mimi, Joanne, Benny. Chacun d’entre eux doivent affronter un ensemble de problèmes dont le manque d’argent et le SIDA.


Dans le premier acte, Roger doit réapprendre à avoir confiance en lui. Après avoir repoussé Mimi une danseuse qui voulait le séduire, ils vont tous les deux apprendre à se connaître et elle lui donnera la force de dépasser ses démons, d’aller aux réunions de soutien aux malades du SIDA et d’entamer une relation sérieuse avec elle. Collins de son côté rencontre Angel avec qui il entame une relation qui durera jusqu’au décès d’Angel des suites du SIDA. Maureen et Joanne, elles, se battent avec l’ensemble de leurs amis pour préserver le quartier. Cependant tout ne se passe pas bien entre les deux: elles se séparent à plusieurs reprises dans le show, mais réalisent que leurs sentiments sont sincères et uniques.


Cette comédie musicale nous montre les difficultés de la vie à New York dans les années 80 avec ce groupe d’artistes bohèmes dont certains sont atteints par la maladie du SIDA. Malgré les difficultés qu’ils doivent affronter chaque jour, ils restent positifs et affirment qu’avec un peu d’amour et le soutien de ses amis, tout est possible et que chaque jour compte !



Rent.jpg
Partager cet article
Repost0
9 novembre 2007 5 09 /11 /novembre /2007 23:11

Vendredi 9 novembre, je suis allée voir la Flûte enchantée au Métropolitan Opéra de New York. Cet opéra  a été composé par Mozart, sur un livret d’Emanuel Schikaneder. La première représentation a eu lieu à Vienne, le 30 septembre 1791 au Theater auf der Wieden. C'était la première fois que je voyais cet opéra et j'ai beaucoup aimé. J'ai entre autre reconnu quelques airs connus et les costumes/le décor faisaient très nettement allusion aux symboles maçonniques présents dans cet opéra. Voici à présent un petit résumé des deux actes.

 

Acte I

L'histoire se déroule dans une contrée lointaine. Égaré, le prince Tamino est attaqué par un serpent. Alors qu'il s'évanouit sûr de mourir, il est sauvé par les trois dames d'honneur de la Reine de la Nuit. Alors que le prince est encore évanoui, les trois dames chantent la beauté du jeune homme. Elles décident d'aller porter la nouvelle à leur reine, mais chacune d'elles veut rester près de Tamino proposant aux deux autres de porter le message. Après s'être disputées, elles disparaissent. Le prince se réveille et voit le corps inanimé du monstre. Se demandant s'il a rêvé ou si quelqu'un lui a sauvé la vie, il entend soudain un air de flûte de Pan. Il se cache et voit arriver Papageno l'oiseleur. Au cours de leur premier dialogue, Papageno se vante d'avoir tué le serpent. Les trois dames réapparaissent et le punissent de ce mensonge en lui donnant de l'eau à la place du vin et une pierre à la place du pain sucré qu'elles lui donnent d'habitude. Pour finir, elles le réduisent au silence en lui fermant la bouche avec un cadenas en or.

 

Les trois dames révèlent ensuite à Tamino qu'elles lui ont sauvé la vie. Elles lui parlent ensuite de Pamina, la fille de la Reine de la Nuit. Elles lui montrent son portrait, et disparaissent. À la vue du portrait, Tamino tombe amoureux de la jeune fille et songe au bonheur qui l'attend. Réapparaissent les trois dames qui lui disent que Pamina est prisonnière. La Reine de la Nuit apparaît alors dans un grondement de tonnerre et lui narre son désespoir de voir sa fille prisonnière. Elle dit finalement à Tamino que si elle le voit revenir vainqueur, Pamina sera sienne pour l'éternité.

 

Apparaît alors Papageno triste de ne plus pouvoir parler. Les trois dames réapparaissent et le libèrent de son cadenas, lui faisant promettre de ne plus mentir. Elles remettent également à chacun un instrument qui leur est envoyé par la Reine. Tamino se voit offrir une flûte enchantée, tandis que Papageno reçoit un carillon magique. Ces instruments les aideront à triompher des épreuves qui les attendent. Les deux hommes partent en quête de Pamina chacun de son côté.

 

Dans le palais de Sarastro, le serviteur maure Monostatos poursuit Pamina de ses assiduités. Survient Papageno. Le maure et l'oiseleur se trouvent face à face. Chacun effraie l'autre croyant être en présence du Diable. Monostatos s'enfuit, et Papageno se trouve seul avec Pamina. Il lui révèle alors qu'un prince va venir la délivrer, en ajoutant que le prince est devenu follement amoureux d'elle sitôt qu'il a vu son portrait. Pamina lui fait un compliment sur son grand cœur. Touché par ces paroles, Papageno raconte alors sa tristesse de ne pas encore avoir trouvé sa Papagena. Pamina le réconforte, et la princesse et l'oiseleur s'accordent pour chanter la beauté de l'amour avant de fuir.

 

Pendant ce temps, Tamino est conduit vers les trois temples de la Sagesse, de la Raison et de la Nature par trois génies qui lui recommandent de rester « ferme, patient et discret ». Après que Tamino se soit vu refuser l'entrée des deux premiers temples, un prêtre s'adresse à lui pour lui expliquer que Sarastro n'est pas un monstre comme la Reine de la Nuit le lui a décrit, mais qu'il est au contraire un grand sage. Tamino, saisi par la solennité de la cérémonie, s'éprend d'une soif de connaissance et se met à poser des questions aux prêtres. Il saisit sa flûte magique et en accompagne son chant. Il se retrouve alors entouré de bêtes sauvages sorties de leur repaire qui viennent se coucher à ses pieds, charmées par le son de l'instrument. Seule Pamina ne répond pas aux sons cristallins de la flûte.

 

De leur côté, Papageno et Pamina espèrent retrouver Tamino avant que Monostatos et ses esclaves ne les rattrapent. Les voici qui surgissent tout à coup et le maure ordonne alors que les fugitifs soient enchaînés. Papageno se souvient alors qu'il possède un carillon magique et s'en sert pour envoûter Monostatos et ses esclaves qui se mettent à danser et à chanter avant de disparaître. Une fanfare de trompettes interrompt soudain le silence : c'est Sarastro suivi par une procession de prêtres. Papageno tremble de peur et demande à Pamina ce qu'il faut dire. Pamina répond qu'il faut dire la vérité même s'il leur en coûte, et s'agenouille devant Sarastro. Comme elle a décidé de dire la vérité, elle explique alors à Sarastro qu'elle tente d'échapper à Monostatos. Celui-ci refait alors son apparition, traînant avec lui Tamino qu'il a capturé. Dès qu'ils se voient, Pamina et Tamino se jettent dans les bras l'un de l'autre en présence de Monostatos et des prêtres. Ce dernier les sépare et se prosterne devant Sarastro pour ensuite vanter ses mérites personnels. Il s'attend à être récompensé, mais est au contraire condamné à recevoir soixante-dix-sept coups de fouet. Sarastro ordonne alors que Papageno et Tamino soient conduits au Temple des Épreuves.

 

Acte II

 

Sarastro annonce aux prêtres que les dieux ont décidé de marier Tamino et Pamina. Mais auparavant, Tamino, Pamina et Papageno devront traverser des épreuves avant de pénétrer dans le Temple de la Lumière qui leur permettra de contrer les machinations de la Reine de la Nuit. Sarastro prie Isis et Osiris d'accorder aux candidats la force de triompher de ces épreuves.

 

Les prêtres interrogent Tamino et Papageno sur leurs aspirations. Celles de Tamino sont nobles, tandis que Papageno n'est intéressé que par les plaisirs de la vie, y compris par l'idée de trouver une compagne. Leur première épreuve consiste en une quête de la Vérité. Les prêtres leur enjoignent de conserver le silence complet et les laissent seuls. C'est alors qu'apparaissent les trois dames de la Reine de la Nuit. Tamino leur oppose un silence résolu, mais Papageno ne peut s'empêcher de leur parler. Les prêtres réapparaissent pour féliciter Tamino et gronder la faiblesse de Papageno.

 

Pendant ce temps, Pamina est étendue assoupie dans un jardin. C'est alors qu'entre Monostatos, décidé à tenter à nouveau la vertu de la jeune fille. La Reine de la Nuit apparaît alors dans un coup de tonnerre, faisant fuir Monostatos. Elle donne un poignard à sa fille et l'enjoint, dans un chant exalté, de tuer Sarastro. La Reine de la Nuit disparaît et Monostatos revient alors vers Pamina et tente de la faire chanter. Mais Sarastro apparaît et renvoie Monostatos sans ménagement. Le maure décide alors d'aller trouver la mère de Pamina. Sarastro déclare alors à Pamina qu'il fera payer sa mère.

 

Dans une pièce sombre, les prêtres ont une nouvelle fois demandé à Tamino et Papageno de garder le silence. Comme toujours Papageno ne peut se contrôler et engage la conversation avec une vieille femme qui se présente à lui. Elle disparaît avant de lui avoir dit son nom. Pamina apparaît et, ignorante de leur vœu de silence, s'approche des deux hommes. C'est alors qu'elle désespère de ne recevoir aucune réponse de leur part. Croyant que Tamino ne l'aime plus, elle sort le cœur brisé.

 

Les prêtres réapparaissent et proclament que Tamino sera bientôt initié. Sarastro le prépare à ses dernières épreuves. Pamina est introduite les yeux bandés après qu'on lui ait dit qu'elle verrait Tamino pour qu'il lui fasse un dernier adieu. Il s'agit en fait d'une épreuve et Sarastro s'applique à rassurer Pamina, mais elle est trop abattue pour comprendre le sens de ses paroles.

 

Pendant ce temps, Papageno se voit accorder le droit de réaliser un vœu. Il demande un verre de vin, mais prend conscience qu'il aimerait par dessus tout avoir une compagne. Il chante alors son désir en s'accompagnant de son carillon magique. La vieille femme réapparaît, et menace Papageno des pires tourments s'il ne consent pas à l'épouser. Il lui jure alors fidélité et elle se découvre être une jeune et belle femme. Mais un prêtre les sépare sous prétexte que Papageno ne s'est pas encore montré digne d'elle.

 

Dans un jardin, les trois génies annoncent l'avènement d'une ère nouvelle, de lumière et d'amour. Ils voient soudain Pamina, agitée par des idées de suicide. Ils la sauvent et la rassurent sur l'amour de Tamino. Les prêtres conduisent Tamino vers ses deux dernières épreuves : celle du feu et celle de l'eau. Pamina se joint à lui, et le guide à travers ses dernières épreuves. Ils sont accueillis triomphants par Sarastro et les prêtres.

 

De son côté, Papageno est toujours à la recherche de Papagena. Désespéré, l'oiseleur envisage de se pendre à un arbre. Les trois génies apparaissent alors, et lui suggèrent d'utiliser son carillon magique pour attirer sa compagne. Profitant qu'il joue de l'instrument, les trois génies vont chercher Papagena et l'amènent à son amoureux. Après s'être reconnu, le couple peut enfin converser dans la joie.

 

À la faveur de l'obscurité, Monostatos mène la Reine de la Nuit et ses dames vers le temple pour une dernière tentative contre Sarastro. Mais le ciel est alors inondé de lumière et elles s'évanouissent dans les ténèbres. Sarastro et le chœur des prêtres apparaissent pour vanter les mérites des nouveaux initiés, et louer l'union de la force, de la sagesse et de la beauté.

 

Source: Wikipedia.

 

 

 

Opéra

 

L'intérieur de l'opéra.

 

La flûte enchantée

 

Le salue final de la flûte enchantée.

 

Metropolitan Opera

 

La foule sortant de l'opéra.

 

 

Partager cet article
Repost0
20 octobre 2007 6 20 /10 /octobre /2007 02:17

A New York, depuis que je suis arrivée, je suis déjà allée deux fois bruncher le dimanche à "La petite abeille" un restaurant français/belge par très cher et excellent. J'ai notamment testé les oeufs bénédictes au saumon et les oeufs florentines. Il y en a quatre dans Manhattan et celui que j'ai testé (sur la 17ème rue) était vraiment très bon, alors si vous êtes à New York pour les vacances ou parce que vous y vivez, courez-y! Pour plus d'infos, voici le site de la petite abeille. Bon appétit!

 



La petite abeille

 

La petite abeille de la 17ème rue.

 

 

La petite abeille

 

Les oeufs bénédictes au saumon fumé.

 

 

La petite abeille

 

La gauffre exotique.

 

 

 

Partager cet article
Repost0