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vivre aux Etats Unis

2 mars 2007 5 02 /03 /mars /2007 09:11
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1 mars 2007 4 01 /03 /mars /2007 08:23
Depuis plusieurs mois, j’entends parler de ce film, « la Môme » sur la vie d’Edith Piaf. Parfois, lorsque l’on entend trop parler d’un film, soit disant brillant, il arrive que l’on soit déçu une fois le dit film vu. Dans le cas de « la Môme », ça n’a pas été mon cas.


D’abord, la performance de Marion Cotillard en Edith Piaf. L’actrice est totalement transformée, méconnaissable même ! La ressemblance avec Edith Piaf à tous les stades de sa vie est impressionnante, y compris et surtout lors des gros plans du film. La môme Cotillard en fait des tonnes : à la fois vulgaire, canaille, capricieuse, ingrate, indomptable, marchant comme une bossue… C’est un vrai rôle de composition, déchirant par moment, notamment lors de la mort de Cerdan, et qui donne des frissons à observer ce corps déglingué et agonisant.


Je savais vaguement avant de voir le film que la vie de l’interprète Piaf – dans la vraie vie, Edith Gassion – avait été mouvementée. Ce film nous retrace ce parcours chaotique en plus de 2h en commençant par l’enfance puis l’âge adulte avec des retours en arrière finement positionner dans le film.


Et finalement à la fin du film, on comprend mieux la signification réelle des mots contenus dans les chansons de Piaf  comme « l’hymne à l’amour », ou encore et surtout « Non, je ne regrette rien ».


Certes, pour ceux qui sont allergiques aux chansons d’Edith Piaf, ou qui ne supportent pas les films biographiques/dramatiques, ce film n’est peut-être pas pour vous… Toutefois, moi, je vous le conseille à tous vivement, car on ne voit pas passer le temps et je le répète, la performance de Marion Cotillard est remarquable !




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27 février 2007 2 27 /02 /février /2007 09:15
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25 février 2007 7 25 /02 /février /2007 22:36

Suite à un article dans « A Nous Paris », j’ai appris qu’une entrée Guimard, emblème majeur de la capitale et du métro parisien avait été inaugurée en janvier à Moscou par le PDG de la RATP. Cette inauguration n’est pas la première. Depuis plusieurs années, différentes villes comme Mexico, Chicago ou Lisbonne avaient demandé dans le cadre d’un échange culturel, qu’un entourage Guimard, copie exacte du modèle parisien, soit installé sur leur réseau. La RATP a répondu favorablement à cette demande.

 

Ne connaissant pas l’architecte Hector Guimard, j’ai décidé d’en apprendre un peu plus sur lui et de vous le faire partager. Tant qu’à faire, autant que mes recherches culturelles sur Paris servent à tout le monde –enfin du moins à tous ceux et à toutes celles qui auront le courage de lire ces quelques lignes !

 

Hector Guimard (1867-1942) fait partie des architectes de l’Art nouveau français. Il a rejeté le modèle antique enseigné dans les écoles des Beaux-Arts jusque là pour préférer l’imitation de la nature à la façon des artistes gothiques ou japonais.

 

Après avoir participé à l’Exposition universelle de 1889, il part à la conquête de Paris en construisant des maisons dans le XVIème arrondissement, puis surtout l’école du Sacré Cœur au 9 avenue de la Frillière. En 1894, grâce à l'appui d'Anatole de Baudot, le futur constructeur de Saint-Jean de Montmartre, la première église de Paris en béton armé, il obtient une bourse de voyage au Salon du Champs-de-Mars. Guimard l'utilisera pour un voyage en Grande-Bretagne et en Belgique où il fait une rencontre décisive, celle de l’architecte Horta.

 

Chargé à ce moment d'édifier le Castel Béranger, 14, rue La Fontaine, un immeuble de trente-six appartements, il change son premier projet, romano-gothique, pour le transformer en manifeste de l'Art nouveau que le public et les critiques seront appelés à visiter librement. Le jeune maître se place alors sous le patronage de Viollet-le-Duc, la figure emblématique de tous les architectes de l'Art nouveau européen. Puis, il rend hommage à Horta dont il a recueilli une précieuse confidence sur son art : dans l'imitation de la nature, il faut bannir la feuille et la fleur, ne garder que la tige. Comme le maître belge, Guimard a appliqué dans son Castel un autre principe fondamental de l'Art nouveau, celui de l'unité complète de l'œuvre : il est l'auteur de toute la décoration intérieure, y compris les tapis et certains meubles.

 

Le grand œuvre de Guimard reste encore aujourd’hui les édicules du Métropolitain construit entre 1899 et 1913. La jeune Compagnie du métro parisien a lancé un concours portant sur les édicules destinés à couvrir les entrées des stations souterraines. Sur la vingtaine de concurrents, aucun ne se rattachait à l'Art nouveau. Ce fut dommage pour eux car le banquier Adrien Bénard, président du conseil d'administration de la Compagnie, en raffolait : il avait d’ailleurs fait décorer la salle à manger de sa villa par le sculpteur Alexandre Charpentier. Guimard fréquentait le salon des Charpentier où il rencontrait ses amis, et c'est sans doute par l'intermédiaire du vieux maître qu'il fit la connaissance de Bénard. Sans hésiter, celui-ci lui confia la commande complète des édicules.

 

Guimard décida d'utiliser un matériau à la fois économique et plastique, la fonte de fer. Son caractère pâteux, impropre à tout moulage, fut employé par l'architecte pour souligner l'ossature de ses abris. La couverture relevée des édicules les fit comparer à des libellules déployant leurs ailes. Mais tout le monde n’appréciait pas son œuvre. Les balustrades et les lampadaires en forme de tiges qui entouraient la plupart des escaliers de descente aux stations ont été qualifiés par certains de « fragments de squelette d'ichtyosaure ». L'inscription « Métropolitain », dessinée par Guimard, était considérée comme illisible par les enfants et les touristes. En 1902, l'Art nouveau n'est plus dans le vent, mais Guimard réussi à installer de nouveaux entourages jusqu’en 1913.

 

A la suite d’une convention, l’architecte a cédé à la compagnie la propriété complète de ses modèles et tous les droits de reproduction. Les atteintes du temps, l’évolution de l’environnement urbain, les nouvelles exigences en matière d’information et de repérage des accès du métro ont nécessité une véritable restauration patrimoniale. Pour ce faire, les équipes de la RATP ont défini et formalisé les modes opératoires avec les architectes des Monuments historiques de France.  Les méthodes de la RATP sont aujourd’hui la référence mondiale en matière de restauration et d’entretien des entourages Guimard.

 

Avec cette nouvelle inauguration de l’entourage de la station Kievskaïa à Moscou, Guimard retrouve une reconnaissance en France comme à l’étranger.

 

 

 

Exemple d'une station Guimard.

 

 

Source : Encyclopédie Universalis et A Nous Paris.

 

 

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24 février 2007 6 24 /02 /février /2007 09:27
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23 février 2007 5 23 /02 /février /2007 09:28
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22 février 2007 4 22 /02 /février /2007 09:51

 

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21 février 2007 3 21 /02 /février /2007 09:15
Suite à un RDV avec deux copines devant le Panthéon samedi après-midi, j’ai atterri dans un « bar à chocolat » situé rue Monsieur le Prince. La vitrine nous laisse entre-apercevoir une fontaine de chocolat à l’entrée et des milliers de petits chocolats au lait, noir et blanc prêts à être dégustés. 

Une fois la porte franchie, j’ai eu l’impression de rentrer dans une des scènes du livre « Charlie et la Chocolaterie » de l’auteur anglais Roald Dahl. Peter Beier, chocolatier danois serait-il une réincarnation de Willy Wonka ?

Toujours est-il qu’après avoir regardé les chocolats et senti l’odeur du cacao, nous sommes montées à l’étage afin de nous installer confortablement pour feuilleter la carte des boissons chocolatées bien sur ! 

Après quelques minutes de réflexion dans cette ambiance chaleureuse, j’ai opté pour le chocolat chaud au lait, le « favori des enfants ». Verdict : un grand mug rempli d’un délicieux chocolat, avec un peu de crème pour couronner le tout. Et le prix dans tout ça, seulement 5€… Alors si vous êtes dans le coin, allez-y, non que dis-je, courrez-y !



Carine et Sandrine, au bar à chocolat.


 

Bar à Chocolat
62, Rue Monsieur le Prince
75006 Paris


 

 

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20 février 2007 2 20 /02 /février /2007 09:43
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19 février 2007 1 19 /02 /février /2007 09:41
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